Tout a commencé en mai 2003, je découvre alors l’annonce sur le site d’un club de voitures anciennes Québécois. Je contacte le vendeur. Le vendeur n’est pas le propriétaire du véhicule mais c’est lui qui héberge la SM dans sa résidence secondaire du Vermont (États-unis). Le vendeur m’informe que la voiture doit être rapatriée dans les jours qui suivent à Montréal.
Je ne peux avoir d’informations précises sur le véhicule car le vendeur ne la connaît que très peu, il est simplement « l’hébergeur ».
Après environ trois semaines d’attente, la voiture est toujours dans le Vermont. je décide d’aller la voir sur place, c’est à environ une heure et demi de route de Montréal.
Le 9 juin, J’arrive à m’entendre avec le vendeur sur un prix et, notamment, les conditions de livraison de la voiture, puisque celle-ci doit être transportée sur un camion-plateau.
Le 17 juin, ça y est, elle est dans mon garage !
Je constate déjà qu’il y a plus de dégâts que je n’en avais vu au niveau du dessous de la coque et du plancher. Mais ce n’est probablement que le début des surprises.
« Y’a plus qu’à » !