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Je commence par la turbine de pompe à eau
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J’installe le joint céramique…
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… et je peux la remettre en place sur le carter qui n’attendait plus qu’elle
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Ensuite je referme le tout avec un couvercle acheté d’occasion
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Fermeture d’une partie du circuit de refroidissement, c’est plus pratique maintenant qu’après la repose du moteur
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En attendant le retour de mes mécaniciens attitrés, je m’occupe de quelques bricoles, ici le remplacement du caoutchouc de protection
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Ici je remplace le câble d’accélérateur, qui avait un point dur
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Remontage de quelques tôles
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Remplacement de la durite d’arrivée d’essence, qui était particulièrement dure
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Le raccord a cédé au démontage, donc je pose celui que j’ai fait zingué pour la SM carbu, j’en ai encore un autre en réserve
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Il y a aussi la pièce de remplissage du réservoir de LHM, qui est toujours très dure
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Tellement dure qu’elle casse en morceaux au fur et à mesure que je la dépose
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Voici une pièce toute neuve qui permet au bouchon d’aller et venir facilement
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Puis Claude et Dominique reviennent chez moi pour en terminer avec l’embrayage. Ils commencent par reposer le volant moteur fraîchement rectifié
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Ensuite c’est au tour du disque et mécanisme d’embrayage, le fameux mécanisme que j’aurais dû commander bien plus tôt 😉
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Ici la nouvelle butée installée
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Et finalement la boîte rejoint le moteur
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Du coup je profite de la présence des mécaniciens pour reposer immédiatement l’ensemble dans la voiture
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La repose se fait rapidement. Voilà une étape importante finalement franchie !
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Dans la série « tant que j’y suis », je m’occupe des arbres de transmissions qui ont des soufflets endommagés
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Normalement il faut un extracteur spécial pour déposer les tri-axes, mais avec une presse c’est possible aussi. Celle que je peux utiliser au boulot, ici, est trop courte pour me permettre de reposer le tri-axes après remplacement des soufflets…
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… alors je choisis les grand moyens, j’achète une presse! C’est un investissement que je ne suis pas prêt de rentabiliser mais au moins je peux me débrouiller tout seul
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Ici la dépose d’un tri-axe
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Je presse avec des douilles
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Ici la repose avec appui sur l’arbre, ça ne me plaît pas beaucoup mais l’effort est faible (2 tonnes max indiquées par la presse)
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Ensuite je passe à la repose des arbres
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Il faut 200 grammes de graisse de chaque côté, c’est facile, c’est exactement la moitié d’une cartouche
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Et voilà le travail. Je vous passe les détails, comme plusieurs colliers Ligarex que j’ai refait après m’être trompé de sens 😉
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J’espère que la graisse ne fuira pas autant que lors de ma précédente intervention au niveau des arbres de transmission
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Voici la même chose de l’autre côté
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Les étriers de frein à main après démontage, nettoyage et remontage, avec des plaquettes neuves car les précédentes étaient usées inégalement
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La repose des étriers est simple mais le câble est particulièrement difficile à reposer sans l’outillage spécial
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Pour régler l’espace entre les plaquettes et le disque, il faut des cales de 0.1 mm. Je n’en ai pas alors j’utilise une feuille de papier découpée en conséquence, son épaisseur est de 0.12 mm
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Et finalement je commence à refermer le circuit de refroidissement
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Pour mettre en place ce tuyau métallique, il a fallu que je dépose à nouveau un des étriers de frein à main que je venais tout juste de poser. Il a évidemment fallu faire un nouveau réglage 😉